Dissertation En Droit Civil Exemple Texttime: 2016 02 20 1:39 utc 1455976899 reporting this problem: the problem you have encountered is with a project web site hosted by sourceforge.net. This issue should be reported to the sourceforge.net hosted project not to sourceforge.net. if this is a severe or recurring/persistent problem, please do one of the following, and provide the error text numbered 1 through 7, above:
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Prйsentation du contexte gйnйral dans lequel s’inscrit le sujet poser le sujet prйsenter sa nature et son intйrкt annoncer le plan. modifiй par latulipe, 07 octobre 2008 1. aujourd’hui, nous allons tenter d’être un peu plus concrets:p nous allons entrer dans le vif du sujet et proposer un exemple de dissertation faite par mes soins en droit constitutionnel pour voir un peu à quoi une dissertation juridique en droit public peut ressembler. Attention, ceci est un exemple, un devoir d’un étudiant de l1, il peut y avoir une/des bêtise s mais j’ai pu avoir une note très correcte 15/20 donc je me permets de la diffuser. Nous voici en présence de la thèse, théorie, doctrine rousseauiste par excellence. Bien sûr, cette injonction n’est pas pour nous déplaire mais le sujet que nous avons à traiter aujourd’hui est expressément relatif à une réalité sociale, culturelle, juridique qui est la notre. Et nous devons donc, pour traiter correctement et le plus exhaustivement possible notre sujet nous placer dans l’esprit et surtout les mœurs d’un citoyen de notre époque et non nous baser sur des contingences idéalistes manifestement plus à l’ordre du jour art. Il semble que cette forme évangélique de la vision, voire de la conception, qu’on se fait du monde porte aujourd’hui toute l’obsolescence de la démocratie au sens littéral du terme. Mais cette sensation de subversion du fond, mais aussi, de la forme, semble être contenu et se retrouver dans bons nombres de nos fondamentaux. Séparation des pouvoirs, démocratie, signification de la loi, de la république … et si nous sortions aujourd’hui de cette hypocrisie chronique dans laquelle le monde semble s’épanouir, nous remarquerions rapidement la différence qu’il existe entre théorie subjective et réalité objective. Afin de délimiter très clairement notre sujet, tâchons de définir certains termes importants. Un texte de portée générale et impersonnelle, ce qui la caractérise est qu’elle est un texte obligatoire, valable pour tous et indifférencié, elle ne doit pas non plus être lacunaire. La « volonté générale » semble faire résonner l’idée de démocratie représentative effective, sujet que nous traiterons par ailleurs. Et enfin, l’adverbe de temps « toujours » semble poser de manière subreptice une question sous jacente. Voici donc les points qui nous servirons de base pour traiter notre dissertation. « la loi peut elle véritablement être l’expression de la volonté générale ou est elle plutôt l’expression de la volonté d’une certaine majorité. Pour répondre à cette question nous analyserons dans un premier temps la subversion de la forme législative et sa substitution par le domaine réglementaire i puis, dans un second temps nous étudierons le fait que le loi est aujourd’hui, plus, l’expression de la spécificité, que de la généralité ii. Les lois substituées par des règlements. l’on parle parfois de vième république, de mort de la vème… a t on raison de le dire. Il semble que oui, la vème république est peut être même comme qui dirait mort née par ce qu’il en a été fait. Difficile de le justifier et de le délimiter clairement, il est en tout cas sûr que la rationalisation parlementaire n’a aujourd’hui plus grand sens a et que l’on assiste à une omnipotence certaine de l’exécutif b. a une rationalisation parlementaire surannée. la rationalisation parlementaire survenue à l’aube de la vème république fut une véritable avancé juridique et politique. Cependant, cet élément, hautement important au début de la vème, s’est très rapidement vu dépassé par les réalités politiques notamment au sein des deux assemblées et à plus forte raison s‘agissant de l‘assemblée nationale. Plusieurs reformes constitutionnelles ont donc été mises en œuvre au fil du temps. Une timide révision constitutionnelle en 1995 notamment, et une nouvelle, plus récemment, en 2008, qui avait pour dessein de restaurer les droits du parlement et de ses représentants. Il s’agissait, par ces rationalisations, de codifier clairement et constitutionnellement les moyens d’actions réciproques des pouvoirs les uns sur les autres et d‘afficher leur modalité de fonctionnement pour respecter du mieux possible le rôle de chacun. Ainsi, voulait on éviter de reproduire le grand marasme parlementaire de la ième et de la ivème république. En s’exécutant, les constitutionalistes ne pensaient peut être pas tomber dans l’excès contraire. Aujourd’hui donc, on assiste à une réelle mutation, un changement du régime de base. On se retrouve en présence d’un régime hybride empreint de parlementarisme et de présidentialisme. Car clairement le président est au centre de la politique, et le 1er ministre ne fait office que de figuration, mais en même temps, le bicaméralisme du parlement n’est pas pour autant mis de côté. D’un côté on veut redonner au parlement toute la légitimité et le pouvoir dont il peut faire l‘objet, de l’autre, on veut maintenir « la prééminence institutionnelle et politique de l’exécutif ». Les institutions donc, la prolifération des textes et reformes s’auto neutralisent perpétuellement et mutuellement de façon de moins en moins compréhensible pour une population inaccoutumée du fait constitutionnel. Par ailleurs, on se rend compte que certaines particularités de notre régime ne vont plus dans le sens de la démocratie pluraliste. Absentéisme omniprésent à l’assemblée nationale dû au cumul des mandats locaux et nationaux, manque de proximité des politiques avec le peuple, abus de l’utilisation des commissions parlementaires… autant de choses qui pervertissent le cœur même de la démocratie et fait donc pâtir la volonté général et les citoyens. Car il ne faut pas perdre de vu que les députés sont élus par le peuple et peuvent donc en tirer une forte légitimité. Mais évidemment, le député, tiraillé entre sa conscience le vote à sa propre discrétion qui irait dans la logique du parlementaire qu‘il incarne , celle de son parti mandat impératif et celle de sa commune, ne sait plus comment réagir face à l’inflation législative dont il/nous sommes en présence aujourd’hui. En outre, on mettra en avant un autre élément essentiel qui fait que notre démocratie souffre aujourd’hui. Le désintérêt des citoyens pour la politique et donc l’abstinence électorale. Se posera enfin la question de l’origine même des lois et donc par là même sera remis en cause le marcescible principe de séparation des pouvoirs a t il déjà vraiment existé ?.
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